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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 17:07

 

Il ne me suffira pas d'une journée, pour vous dire,écrire à quel point vous aimez.

Les comptes sont porteur de chiffre, vous les femmes de la vie.

Les hommes ne sont que les outils de la réalisation Féminine.

La condition féminine devrait être première, dans notre monde, car bien la seule à donner la vie, restera la déesse de l'harmonie. Un univers sans femme serait comblé d'un espace sans étoiles .
Femme aimante, Femme aimée, seule, vous donner l'élan de vérité.
Mercure Libre  

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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 11:37
Je ne suis pas fidéle à mon chemin je le suis avec mon contrat.
Mon chemin est naturel, je l'écrit et le respecte presque chaque jour pour le bien.
Mon contrat est mieux(l'ennemi du bien), il est écrit par autrui et ce doit d'être suivie à la lettre car sinon on m'enferme ou me rejete au mieux.
L'erreur est naturelle, c'est bien de suivre mon chemin .Le mieux serai de ne pas faire d'erreur, ceci est mon contrat.
La sociétée anime mon contrat, la vie épanoui mon chemin.
je suis mieux en sociétée, bien le seul à écrire son contrat.
Vivre à plusieurs c'est bien mon chemin,vivre seul et mal accompagné sur celui-ci est mon contrat.
Je fais pour le mieux et c'est déja bien pour mon contrat. Je fais bien mon chemin avec ou sans contrat pourtant aux yeux de tous ce sera lui qui restera comme étant ma foi.
Mercure Libre
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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 15:54

Ce soir, il fait bon vivre un amour enivrer.

Mademoiselle, Jeune Homme, Madame, Monsieur,

ne soyer pas déconcerter par un résultat aussi effréné que celui que l’on veut bien vous donner.

Êtres bien aimées dépend de notre possibilité à s'équilibrer d’amour de bonne mère nature.

Ce soir il fait bon vivre un amour enchainer.

Nous qui choisissons sans crainte de nous aimer en toute liberté.

A la barbe de nos ainés, qui on voulu gérer notre amour propre par sécurité mal sondé ou nous voilà tous concernés.

Ce soir il fait bon vivre un amour enchanté.

Merci, à vous filles garçons pressés d’un amour qui demande une flamme comme publicité.

L’amour naturel, celui que vous vouliez contrôler, il nous revient le droit de le libérer en chantant à nos amourez.

Ce soir, il fait bon vivre un amour amplifier.

Nous n’avons plus besoins de cette énergie polluer pour exister.

L’amour de nos vies ne reflète plus le passer seulement une flamme qui n’a pas besoin de publicité.

Ce soir il fait bon vivre un amour à satiété.

Plébiscité par notre cœur élancé, il ferait frais de sans passer.

Nous sommes un fruit bien enveloppé d’attention en beauté, il nous aime c'est justifier certifier vécu.

C’est seulement qu’il fallait l’exprimer.

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 17:22

elle se glisse comme un courant d’air parfumé a l’eau de vie fruité, plein de chocolat lacté a la menthe poivrée.

menthe pas religieuse, je vous rassure mais effectivement sa bouche m'a l’air de bien être équipée, pour les fruits tordus comme certain esprits.

elle est gouteuse a souhait de générosité parfumée d’odeur de vie amoureuse passionnée, flambée, est venue se présenter sans se soucier du bien engendré par sa beauté. Disparait a jamais !

des jours j’arrive a l’imaginer, bien des odeurs me fleurent le nez par pouvoir de ne l’oublier.

tous les matins, elle revient avec la rosé matinale, quel doux parfum se dégage de la vie naturelle, enfin ressourcé une nouvelle peut 

démarrer sens y penser, elle se présente toujours déshabillé de toute pollution, psyché .elle évolue dans un milieu qui est le sien,

m'emmène avec elle l’instant d’un rien, qui me marque a vie. j’attends après le destin, s’il voulait bien m'écouter me la donner,

en posséder une mince quoi alors, le règne est fini moi aussi je n’ai que l’envie humaine de notre société polluée.

Mercure Libre

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 17:20

Elle passe devant moi comme les saumons remontent leur fleuve pour la procréation.

C’est toujours la femme revêtue d'écailles colorées, réfléchissant une lumière de toute beauté, très rassurante, mais instantanée.

Aujourd’hui, il me reste quelque lueur de cette âme purifiée, qui réveille et endorme mes journées.

Autant je l’ai recherché autant elle s'évadait de plus belle.

Seul me reste ces pensées qui m’anime généreusement pour une nouvelle vision furtive.

Mercure Libre

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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 12:32

Le premier jour ou nous nous somme vu reste un frisson contigu.

Agréable sensation de bien venu égaler.

la chaleur  envahi ma vie d’amour effréné, pour toi la déesse de me frisson, qui à pouvoir de m'émousser.

Depuis ses frifrifroufrous éclaire notre vie de bonheur.

Comment faire quand on te côtoie pour ne rien percevoir de tous ce que tu as?

Merci de m’avoir choisi pour le reste de notre vie, avec mamour c’est pour toujours le paradis, a l’infini sans apriori.

Trois petites sont arrivées avec nos bagages mélanger plein d’amour de grâce et de beauté.

Aujourd’hui vous m’entourer d’une bulle rempli de fleur parfumer à cœur, égaille ma vie.

Mâle heureux, je suis pour vivre tous les élans de notre harmonie.

Rien ni personne peut nous défier notre ressentie qui se nourri uniquement de flux qualitatif de vie, inéluctable est en or d’une pureté incassable.

Nous guidon un chemin qui perpétue celui de nos ancien.

Nous les rejoindrons afin de conforter l’amour passer, pour la vie et bien après nous seront toujours unit sans reculer devant ces frissons, généreux, équilibrer et familier.

Le doute, la crainte ainsi que le mal, on de vrai souci à nous voir épanoui ainsi.

Ma fidélité est tienne dans mes sensation journalière.

Pas de fuite pas de clach cela tient de nous à peser nos mots avant qu’ils soient prononcer.

Une raison peut commune en ces temps contemporain, mes enfants son tien ce filing nous réussi sur le dancing commun de nos vie.

Trop pur est-il clamer, si calme déteint-il, reflétant une flamme chaude scintillant un arc en ciel insaisissable à main nu.

Comme le jour, la nuit se suivent depuis des milliers d'années nos étoiles maintenant y sont affilier.

L’amour qui nous tien à pour but de jamais nous séparer.

Ce sicle bien trop déployer restera en nous inégalé.

MercureLibre


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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 10:47

baignade familiale, nous parents avec nos trois bous de rosé.

balade enchantée, de faire des pieds de nez au passé.

gastronomie échangée, d’un seul fait l'unité.

élan de musique, ressenti en harmonie.

torcher leur petit cul au long des journées.

les gros câlins, récoltés lors de leur moment de bonté.

la vue de leur visage illuminé de tant de beauté.

tout ce qu’elles dégagent durant une journée.

mes meilleurs moments de vie, en folies vous l’avez bien compris.

mon rêve « anima », combler de récolte bien semée, reste une preuve de leur générosité.

leur sommeil, comme leur éveil est vraiment quelque chose de fabuleux, a découvrir chez nos êtres aimés.

des instants que nous devrions tous partager sans douter.

je suis un petit jésus, entouré de ces quatre petites maries, je les aime a mourir, tellement elles sont jolies.

si elles me donnent un peu, c’est une obligation de rendre par millier,

tellement elles sont de sincérité.

j’aime notre situation en société, élancé, plein de nouveauté, ce moquant des regards condamnés.

nous ne pouvons plus nous séparer, nos âmes sont liées pour l'éternité dans la voie lactée.

des petites étoiles brillent, depuis ce jour enflammée d’amour, pour engendrer notre vie bien menée.

un égoïste dit :

les échecs, c'est comme écrire, cela se réfléchi tout seul, comme ça

il ne reste qu’un vainqueur oufffffdédédrriihippppét

si vous me le permettez, je vais pousser des cris du cœur d’un style ravageur.

nous ne sommes que ce que nous disons.

nous reflétons ce que nous sommes.

quelle image avez-vous de vous? si vous permettez la mienne est très contre versée, de bonheur de malheur, on dira chacun sa tranche ; c’est bien cru comme la vie ici.

heureusement, nos caractères sont bien placés, pour affronter toutes attaques inopinés ha ! ha ! ha !

bien facile de le narrer, vous qui en tenez les liens pour mieux nous manipuler.

vous détenez tout dans vos mains de propre a rien. ça fait des

années que les peuples crient, clament leur liberté, vous ne cessez de

nous culpabiliser, de tout titre de réalité, ingérés par vos soins, si prodigieux soient –ils !

soyez digne, de ces échecs, que nos anciens en sont bien enterrés.

a nous de le perpétuer, rien, ni personne nous fera lâcher le paquet.

plutôt le hacher avec vous dedans, qui le méritez, les responsables de notre mauvaise harmonie, vous en serez jugés au jour dernier.

nous sommes là pour donner, le meilleur de nous même, recevoir tout ce qui est le pire, a longueur de journée.

l’humain blessé, est bien plus dangereux, qu’une meute de loups enragés !

l’humain stupide est prêts a démonter les Pyrénées, pour les déplacer dans et pour le bien de leur humanité « pouffer »

le ciel, le ciel c'est pour les amoureux et la terre la terre c'est pour les merdeux pouffffpipiffffffffftchaq

pourquoi faut-il autant de haine pour partager si peu d’amour ?

la haine nous ouvre les yeux sur. Faites le vous, on verra si vous y reviendrez ?

un sentiment obligatoire, pour son retour d’amour nécessaire a l'équilibre de notre vie.

l’humain a deux faces celle de la pensée libre, celle de la personnalité physique.

pourquoi les femmes veulent tout tout de suite ?

parce qu’elles sont nées avec un manque à combler, de leur vie elles sont peu a y arriver.

pourquoi le but de l’homme est-il constructif ?

tout simplement, comme il est née avec un truc en plus, il ne sait

quand faire, il fini par exister dans la constructibilité droit devant ou elle veut, bien lui indiquer le chemin, d’une nouvelle société a contaminer de ces désirs de bites, enflé d’un caractère peu erroné.

sans sensibilité aucune ne serait le défier tellement il est gaie avec son jouet tendu devant lui.



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31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 11:34

L’amour est unique.

le doute est multiple.

il se rassure du regard des autres, qui l’entoure pour être mieux servi par sa force, solidité, courage et sa fidélité.

si un œil mal veillant vient se poser, croise les yeux de sa communauté, seul lui peu le débouter avec le soutient visuel de l’ensemble des vies, partager, consumer.

le pire n’est pas a venir.

il n’est, que le résultat du contrat a vie,que nous avons passé avec le meilleur de nous même, qui ne sera pas respecté.

respect/

est un mot qui est très difficile a peser, dans un dialogue, des actions, comportements.

qui aujourd’hui oserait dire qu’il a respecter tout être vivant, faune, flore, etc depuis le premier battement de son cœur ?

expéditive comme explication mais certainement pas pour moi.

c’est pour cela que l'évolution de cette situation reste un fait indéterminée, qui peu m'éprendre et détruire plus que lui-même.

un seul mot peu déclencher d’autres mots, actions

littérairement perfect, avec toujours ce retour, non consenti qui revient pour équilibrer mère nature, mère écriture. pourquoi autan de renvoi inutile, invisible pervers et autre mot plus cru, nous retourne tu ?

le mal vient du bien .le bien vient du mal.

le mieux est l'ennemie du bien

ou l’on veut-il qu’il nous emmené, nous qui sommes la pour le bien,

avec des mots qui ne veulent dire, que ce que l’on veut des sentiments fiévreux de microbe pour notre bien.

qu’exprime le mot vie, quel poids tient-il chez nous ?

il est de trois lettre le v :

deux droites qui se relient en bas s'ouvrant vert le haut.

deux personnes pouvant définir un point de rencontre, pour tirer large vers le haut un avenir non défini.

la deuxième lettre le i :

une droite sans tenant, ni aboutissant, verticale

équilibre déterminant une entité, sans savoir quand elle commence et se finit, elle reste porteuse.

la troisième lettre le e :

droite reliée au milieu, extrémité a la perpendiculaire, bien équilibrée, vers l’infini en trois parties.

la partie qui détient nos limites, intouchable, invisible, individuelle infini. la partie centrale de notre nature humaine équilibre, procréation, évolution, indéfini

la partie haute intelligence humaine, qui nous pousse a agir, pour le bien a l’infini. la partie basse, nous revient de droit naturel, pour l'équilibre de mère nature, un jolie retour de soucis non mériter.

la partie droite, relié les trois susnommées, avec un départ aussi droit que possible, est’ il donné . un départ droit, ne veut pas signifier une arrivée équilibrer a la fin. la preuve, nous vivants plein de v i e, sommes rien au yeux de notre intelligence humaine mondiale .cela finira t’ il bien dans le respect ?clarté voyageuse hérésie commune

nous sommes si peu, a nous considérer humainement vivable pour autrui ou avec.

l'égoïsme humain voudra sortir vainqueur de la vie partagée.

la nature humaine décide souvent autrement, pour un règne,

elle se sert de nous pour arriver a ces fins, bien démontrer que c’est elle qui règne.

alors nous nous efforçons de lui faire un beau pied de nez, des fois qu'elle cautionnerai, mais les branches installées sont si fines que la moindre onde peu tout déclencher, the war nature ou moi. ce choix existe déjà, en se moment c’est elle en première position.

on remarquera touts les troubles météo, mets tes bas, protège toi.

tout en sachant que l’on dit « comptemporainement »,

vie aujourd’hui, car tu ne sais pas ce qui t'attend demain.

mais ce n’est pas pour cela, qu’il faut consumer aujourd’hui avec deux mains.

restons serin devant- elle, elle ne cesse d’explorer en nous de nouvelle qualité.

reine des notions inachevées, pourquoi avons-nous engagé ce défi ?

une chose dite, prononcée, est moitié acheminée, voir faite.

toi, ton règne, aimer au combien de tous nous attribuer, de reconnaissance délurée, dissolue, expédiée.

coupable d'être a moitié traduite avec deux oreilles.


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31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 11:24

nous ne sommes pas voyants, ni médiums pour rien

voir être son propre médecin.

on se fait toujours un plaisir de vous éclairer,

d’intelligence a ne pas juger.

d’une nature a savoir ce que vous ressentez

ou est la différence d’un ressenti physique a celui du parlé?

alors a vous de tirer parti de tout cela pour votre vie.

responsable sans accusé physique ou est la limite du raisonnable de ma nature ?

maintenant, que je suis né bien ébloui de votre science d'intelligence de finir de me guider avec cette lumière qui me brûle, m’aveugle sur le devenir.

l’influence de ma vie, guidée par une société de consommation me donne envie de gouter, un de mes doigts, pour satisfaire une

demande provoquée par mon égal. sûr je ne serai pas le premier a essayer hahaha.

de l'étrange doit naitre le réalisme, hélas l’inconnu fait peur, comment réaliser ceci sans faire de dégât.

ont souhaite s’ouvrir a vous anciens qui vous devez de nous protéger au meilleur de notre émotivité.

ce qui se révèle fortuit de mauvaise graine, que l’on nourri avec des aliments plus sains les uns que les autres.

dans le sens du bon chemin éclairé, de toute ces vérités, qui nous harcellent tout au long de notre vie.

moi mauvaise herbe, j’ai grandi avec le plus pur des éléments, physique, virtuel, psychologique.

pourquoi suis-né avec une double personnalité ?

le bien, le mal, est en moi, c’est moi qui dit quand c'est pieu ou pas, dans le mensonge, la vérité.

un cœur bien trop élancé pour vous voir comme il faudrait. homme libre de ces faits et gestes pour le bien de l'humanité.

un regard tardif de sincérité vision brouillée de toutes ces brumes relatées au passé qui ne sont que le désir de nos ainés.

contrebutés nous aussi dans cette société énervé courant après ce rêve d'être le premier de sa génération à tout posséder.

plus d’objet naturel ou psyché, nous entourent pour mieux se connaitre et évoluer, bien plus envahie de pensées cafouilleuses

pour l'éternité. merci de nous en exécuter, avec gratuité elles sont décidés, mal éclairées ces flammes déjà digérées, mal fléchées

tirent ce patrimoine soit disant laissé,hérité de nos ainés, dans l’incertitude d’une arrivée planifier non appropriée.

lumière de vie, tu nous ébloui de pureté en nous emmêlant les pieds de mêlasse mouvante, animée d’un toi meurtrier.

sensibilité, tu nous tiens par le bout du nez. dans quelle direction veux-tu-nous emmener, a nouveau dans ta sensualité?

mais de quel coté vais-je trébucher, las de vérités naturelles attribuées sens intérêts, pour nous enflammer de tu ne serais pas comment nous influencer, positiver? quoi ?

influer sur qui conque révèle le mauvais désir de régner en maitre d'imposer ces choix de qualité de vie.

ne pas respecter les désirs saints de nos nouveau nés, c’est comme s’ils nous crachaient au nez.

ne pas aimer nos enfants comme ils veulent, serait comme leur cracher a la gueule.

il bien normal de ce tenir enfermé, pour éviter de froisser ces vies a jamais d’une vérité sincère d'émotivité.

surtout moi qui suis déjà passer de l’autre côté, a mainte reprise,

j’aimerais tant être vu comme un ainé plein de raison et de sagesse.

équilibré et non le fumeur buveur drogué de femme a toujours vouloir nnnnnn .heureusement j’en connais qui ne sont pas toc toc

comme moi sa relève d’un sens décodé il faut de tout pour faire ce monde seule chance c’est de trop vous aimez les filles dans tous les sens

que l’on puissent l’imaginer et en aucun cas leurs faire mal physiquement ou psychologiquement.

suis pas né comme le poisson vu ce qu’ils en ont fait pour finir carré ils ne peuvent pas me transformer en poulet d'élevage ni en

dinde panée voir cloné de tout vouloir nous priver d'espoir de s'améliorer ils finiront par manger leur doigt de pied d’un instant

non déterminés et certainement pas au moment qu’ils auraient souhaité. petit réconfort donné, retour d’une forte ne donne pas

forcement l'équilibre attention ne prenez pas tout ce que vous recevez il s'avère que des gens parmi nous soient imbus de leur

notoriété pour nous éduquer a leur souhait suivre leur panache élancé vers une arrivée qui est la leur. a point nommer chacun sa

destinée, eux veulent nous en dévier nous sommes trop mal éduqués par nos ainés pour fonctionner dans leur projet et

merci ancien équilibré de nous avoir montré cette voie qui n’est pas inopinée afin de nous dégager de toutes ces idées préconçues,

d’ aprioris. elles nous évitent de sombrer dans leurs réalités de nous fusionner pour régner en leur paix.

la vie n’est nullement négociable et pour qui conque dans ce monde je vous en prie pas d’idées, merci de ne pas m'étouffer de votre vécu qui lui a du être confronté de situations prés nommées, ils le payent c'est sur et pour vous en rassurer mon vécu me dit

tout ce que tu raquettes a mère nature elle te le reprend au centuple ou alors quelque soit le billet allez que tu payes

t'inquiète, elle te paye le retour avec quelques cadeaux en plus et on sait qu’elle n’est pas radine concernant les retours.

mon imagination est fertile a souhait de bonne et mauvaise volonté de la communiquer a tout être bien aimé.

serait-il assez humble pour ne voir que le côté commun de ma pensée ?

il s'avère que non, pas moyen de tout coller dans le même casier, pour les humains de cette communauté, s'acharnant de vérités

saines, bataillant avec le meilleur des sujets édités, sans jamais déterminer le bien, le mal de tous ces paquets.

on cherche tous le meilleur chemin de liberté qui nous est consacré en s'appuyant sur les vies diminuées d’une sincérité par inconscience évolutive généré.

nous sommes des machines qui ne pensent pas plus loin que leur capteur.

pour ce qui est vu vécu tenez vous bien, nous sommes entourés de fous incontrôlables inclassables impondérables et dépassés.

triste vu de nous, être humain souffrir encore de nos jours a travers notre imagination contigu.

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30 janvier 2009 5 30 /01 /janvier /2009 12:56

Vous décevez tous les regards croisés, par manque de nouveauté, d'expression.

Un seul but bien vu, nous débouter pour vous rassurez de ne pas être dernier gens de société.

Présidents, Rois, Empereurs, politique d’un rien nomment-clôturé, d’un regard effréné de découvrir comment manipuler, concilier les gens de société.

D’un atavisme dédicacé, vos yeux ne seront pas récompensées de valeur bien pesées.

vous enflammez tout, d’un regard pour nous leurrer de mille facettes mal léchées jusqu'à satiété.

Destiné d’égaux non relevable, vous aimez nous voir passé à table,

vous n’ignorez pas la plus par du temps passé, d'être de quelconques, gens de société.

Vous ne vous estimez, qu’au titre de votre identité, comparée à celle des gens de société.

Aucun respect, n’est dégagé même envers vos ainés, qui sont gangrenés d’un vécu influencé de gens de société.

Alors que de la soif s’en suit une boisson, votre aridité sera pourvu de toxicité, sans jamais vous désaltérez.

Mais à quel gens de société, devons-nous déclarer cette responsabilité, invisible, mais bien ressentie ?

Une simple pensée, de gens de société, est de s'en prendre à ceux qui sont les plus élevés, au regard des gens de société.

La vérité sort des gens de société, qui ne se laissent pas faire, en tirent un jardin fructueux de secret, à nous dévoiler.

Il serai temps pour des gens de société, de s'épanouir de vérité, d'équilibre, de justesse, de dignité bien mérité.

Ne perdez pas espoir, nous sommes des gens de société, de mieux en mieux guidés, d’un regard plein de vérité sincérité.


Confession,déclaration,bien luné,blessés de regards engendrés.

Le poème vient naitre sur un nuage de lait bien léchè, désireux, voluptueux qui ne serais se partager en nouvelle communauté bien nettoyée de soupçon coaguler.

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